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La calvaire est aux Romains ce que la supplice est aux Français : un outil de mort pour exécuter la exécution. Et toutefois c’est elle qui deviendra le identité universel de la chrétienté, tout comme le croissant l’est pour l’Islam et l’étoile de David pour le Judaïsme. La crucifix s’est imposée au tort du empreinte identitaire nettement plus démodée qu’est le pageot ( 1 ) Symbole du mystère de Pâques, la croix rappelle cela va de soit la mort du Christ et aussi sa régénération : elle est vide, comme le tombe hardy. Mais l’adoption de ce personnalité par la Église n’est pas constamment missel à la réalité qui fonde le Christianisme.
La calvaire de Saint-André est une crucifix qui a la forme d’un X. Elle tient son nom de Saint-André, qui aurait été martyrisé sur une tau de cette forme. Elle peut aussi être prénommée crucifix décussée, ou écharpe, et est très employée sur les emblèmes et les drapeaux, ou encore comme personnalisation d’avertissement. La crucifix de languedoc-roussillon ( ou crucifix patriarcale ) est une tau latine disposant d’une deuxième barre fille légère tout en haut. Elle était arrangée sur les cartouche des archevêques puis fut utilisée par les ducs d’Anjou, devenus ducs de nord-pas-de-calais par la suite. La barre divine représente un enseigne qui aurait été placé dessus du Christ ( « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » ).
La tau papale est représentative de l’autorité extrême de l’Église protestant pèse-bébé. Cet vue de la rang clergyman est spécifiquement associé au Pape, dirigeant en cela monde de l’Église. Ce style de crucifix catholique est constitué d’un barre verticale coupée par trois horizontales, casée franc plus accessible de i. Étant donné qu’il s’agit du personnalisation officiel de la pontificat, l’usage de la croix papal par toute autre église et réception est strictement interdite. La crucifix papale est exclusive de la calvaire archiépiscopale, qui elle n’est composée que des deux barres horizontales, comme la tau patriarcale et qui, elle, est mise en place pour définir un évêque.
Le communion est le 1er des sept sacrements de la croyance paroissien. Il marque l’entrée du ouaille dans la communauté de l’Église et le top départ de son histoire de baptisé. Le baptême est accusé par beaucoup de habituation et de symboles très importants Au début de la célébration, le futur ouaille est éprouvé sur le pourtour de l’église et pour repérer son entrée dans la communauté, il est toujours plus typique du signe de la Croix. Ce signe rappelle au chrétiens l’Amour du Christ défunt pour eux sur la Croix.
Le mot « Croix » dérive du latin Crux. Chez les anciens romains, il s’agissait d’un tool un moyen pour fouetter des terribles souffrances, la crucifixion presque. Mais, en reste dans le contexte des symboles, rappelons-nous que dans la numération pèse-lettre le chiffre 10 s’écrit X, élément qui rappelle beaucoup une calvaire. En arrivante au Christianisme, comme nous l’avons déjà prématuré, la crucifix est l’indispensable identité de cette reconnaissance. Elle souviens, en effet, la morbidité de Jésus, martyrisé par commande de Ponce Pilate, Procurateur romain de la gainier, qui le condamna gravement. Paradoxalement, d’un fait si irritable et insensible, la calvaire est née à nouveau et a assumé une valeur heureuse, vu que la passion et le coté sombre de Jésus coïncident avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour le style masculin. Un marque identitaire d’amour absolu, ainsi, de renoncement extrême.
La tau orthodoxe ou latine. C’est parmi les catholiques que l’on rencontre la plus grande variété de calvaire. La calvaire de base n’a jamais été aussi simple, avec deux branches, une verticale et une fille légère. Le corps de Jésus n’est pas avantage, car il est vivant. contrairement des protestants, les catholiques ont très vite fait des représentations du Christ sur la Croix. Ainsi dans les Eglises, le corps martyr du Seigneur fait à présent partie intégrante de l’apparence de la croix. Chez les chrétiens d’orient il arrive que l’on représente le rédempteur sur la croix comme étant déjà ressuscité, avec de beaux costume et le terme Victoire griffonné tout proche. NB : les catholiques font le signe de la croix de gauche sur la droite, à partir du IVème siècle. Avant, le signe de la croix de crucifix prenait l’apparence de celui que l’on fait maintenant avant le déchiffrement de l’Evangile, triple marque sur le bord, les lèvres et le thorax, les trois parties supérieures de la personne ( cervelle, amour, activité ) se trouvant ainsi placées sous la garantie de la crucifix.
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